Sourate An-Nisa | De la version uthmani du Moshaf en arabe.
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la traduction française du sens Page 81
Sourate Al-Nisa from 20 to 23
20. Si vous voulez substituer une épouse à une autre, et que vous ayez donné à l’une un qintâr ( 1 ) , n’en reprenez rien. Quoi! Le reprendriez- vous par injustice et péché manifeste?
21. Comment oseriez- vous le reprendre, après que l’union la plus intime vous ait associés l’un à l’autre et qu’elles aient obtenu de vous un engagement solennel?
22. Et n’épousez pas les femmes que vos pères ont épousées, exception faite pour le passé. C’est une turpitude, une abomination ( 2 ) , et quelle mauvaise conduite!
23. Vous sont interdites vos mères, filles, sœurs, tantes paternelles et tantes maternelles, filles d’un frère et filles d’une sœur, mères qui vous ont allaités, sœurs de lait, mères de vos femmes, belles- filles sous votre tutelle et issues des femmes avec qui vous avez consommé le mariage; si le mariage n’a pas été consommé, ceci n’est pas un péché de votre part; les femmes de vos fils nés de vos reins; de même que deux sœurs réunies ( 3 ) - exception faite pour le passé. Car vraiment Allah est Pardonneur et Miséricordieux;
( 1 ) Un qintār: mille pièces d’or, d’où le mot latin: quintal.
( 2 ) Abomination: cette conduite est un affront du fils à l’égard de son père qui engendre la colère d’Allah.
( 3 ) Deux sœurs réunies: sœurs utérines ou par allaitement. Il n’est pas interdit d’épouser la deuxième sœur après le divorce ou le décès de la première.